Le tribunal judiciaire de Strasbourg a validé ce lundi 8 juillet d’accorder la reprise de l’aciériste placé en redressement judiciaire, au profit du fonds d’investissement britannique Greybull, qui préserve les trois sites français.
Les salariés peuvent enfin souffler. Après de multiples rebondissements, le tribunal judiciaire de Strasbourg a annoncé ce lundi 8 juillet la reprise du groupe sidérurgique français Ascometal, par le fonds d’investissement britannique Greybull. L’entreprise, en redressement judiciaire depuis le mois de mars lorsque son actionnaire Swiss Steel a quitté le navire faute de moyens, sauve ainsi la quasi-totalité de ses 800 salariés – seuls 23 emplois seraient supprimés dans cette nouvelle holding