C’est un choc pour la cinquantaine de salariés de l’entreprise Tolartois, l’ex-fleuron béthunois installé sur le site laissé vacant par Bosal, à Annezin.
Après deux ans d’une longue procédure de sauvegarde, elle est cette fois placée en redressement judiciaire. Prochain enjeu le 29 novembre. Discrète, l’entreprise l’a toujours été et c’est une rumeur diffuse qui a suggéré que la situation de Tolartois, spécialiste des produits perforés et de tôlerie, s’était aggravée après deux années de procédures de sauvegarde.