La disparition d’Aigle Azur, les difficultés d’XL Airways, mais aussi d’autres petites compagnies françaises, pose une nouvelle fois la question de la consolidation de ce secteur et de la taille critique.
A moins d’être positionné sur des marchés niches, soutenu et non pas matraqué fiscalement par son propre gouvernement, il est aujourd’hui quasiment impossible de de survivre lorsque vous ne possédez que quatre ou cinq avions, et assurez simultanément du court-moyen et du long courrier.