Six semaines après sa mise en redressement judiciaire, la société de surveillance GIP Grand Ouest, basée à Saint-Barthélémy-d’Anjou, vient d’être cédée un autre opérateur du secteur, l’entreprise SNGST.
Mercredi, le tribunal de commerce d’Angers a suivi la préférence du personnel angevin (120 salariés), en ordonnant la cession du fonds de commerce à cette société parisienne dont l’offre était en concurrence avec trois autres propositions de rachat, toutes jugées « très sérieuses ».