Le calme de l’usine historique contraste avec l’urgence à trouver acquéreur, rapidement, pour maintenir l’activité.
Alors que les intéressés semblent de plus en plus nombreux, les offres, elles, sont toujours absentes. Fini le sol qui tremble à chaque coup de l’immense pilon, les tonnes de métaux qui s’entrechoquent et circulent : silence sous les hauts ateliers. Depuis jeudi, la production des Forges est à l’arrêt.