Mardi, les Forges de Fresnes sont passées d’un redressement à une liquidation judiciaire, avec continuité de l’activité jusqu’au 31 mai.
Aux éventuels repreneurs (Guy Marit en tête) de (re)faire une offre. Sauf que le temps presse et les conditions ne sont pas encore réunies.
Presqu’un retour à la case départ, avec un calendrier qui s’accélère : en clair, pour que les 37 salariés des Forges de Fresnes ne soient pas à la rue, au 31 mai, il faut que les éventuels repreneurs fassent (rapidement) une nouvelle offre.